Bibliography
Neil
Wright s. xx–xxi
Works authored
Contributions to journals
Wright, Neil, “Knowledge of Christian Latin poets and historians in early medieval Brittany”, Études Celtiques 23 (1986): 163–186.
abstract:
Suite de l'élude parue dans Ét. celt. 20 (1983), 161-175 : Six textes hagiographiques bretons attestent de nombreux emprunts à des poètes latins chrétiens, d’abord et surtout Sedulius, mais aussi Juvencus, Arator, Cyprianus Gallus, Aldhelm. Ce sont les mêmes textes qui citent Virgile. L’auteur classe les emprunts en «citations» (ou «imitations»), et en «échos». — Utilisation des historiens latins chrétiens : Wrdisten imite souvent Gildas, parfois en le paraphrasant ; il a aussi utilisé Orose. Son élève Wrmonoc utilise les mêmes textes historiques, qui devaient donc être disponibles à l’abbaye de Landévennec. Les traités historiques de Gildas et Orose, qui partagent la même conception de l’histoire, ont reçu parfois le même titre, Ormesta, dans les manuscrits d’origine bretonne.
Persée – Études Celtiques, vol. 23, 1986: <link>
abstract:
Suite de l'élude parue dans Ét. celt. 20 (1983), 161-175 : Six textes hagiographiques bretons attestent de nombreux emprunts à des poètes latins chrétiens, d’abord et surtout Sedulius, mais aussi Juvencus, Arator, Cyprianus Gallus, Aldhelm. Ce sont les mêmes textes qui citent Virgile. L’auteur classe les emprunts en «citations» (ou «imitations»), et en «échos». — Utilisation des historiens latins chrétiens : Wrdisten imite souvent Gildas, parfois en le paraphrasant ; il a aussi utilisé Orose. Son élève Wrmonoc utilise les mêmes textes historiques, qui devaient donc être disponibles à l’abbaye de Landévennec. Les traités historiques de Gildas et Orose, qui partagent la même conception de l’histoire, ont reçu parfois le même titre, Ormesta, dans les manuscrits d’origine bretonne.
Wright, Neil, “Some further Vergilian borrowings in Breton hagiography of the Carolingian period”, Études Celtiques 20 (1983): 161–175.
abstract:
Additions et corrections à l'étude de François Kerlouégan sur les citations d’auteurs latins dans les Vies des saints bretons. L’auteur définit d’abord différentes sortes d’emprunts : les citations mot pour mot, les imitations (par adaptation à un autre contexte), les échos. Puis il met en évidence que seul Virgile était réellement connu des moines bretons parmi les poètes latins. Il dégage quels sont les textes qui attestent une véritable connaissance de Virgile, et signale dans ces textes de nouveaux emprunts.
Persée – Études Celtiques, vol. 20, 1983: <link>
abstract:
Additions et corrections à l'étude de François Kerlouégan sur les citations d’auteurs latins dans les Vies des saints bretons. L’auteur définit d’abord différentes sortes d’emprunts : les citations mot pour mot, les imitations (par adaptation à un autre contexte), les échos. Puis il met en évidence que seul Virgile était réellement connu des moines bretons parmi les poètes latins. Il dégage quels sont les textes qui attestent une véritable connaissance de Virgile, et signale dans ces textes de nouveaux emprunts.
Contributions to edited collections or authored works
Banham, Debby, Martha Bayless, Alicia Corrêa, Julia Crick, Mary Garrison, Joan Hart-Hasler, Peter Jackson, Michael Lapidge, Vivien Law, Rosalind Love, Richard Marsden, Andy Orchard, Charles D. Wright, and Neil Wright, “Text and translation; Commentary”, in: Martha Bayless, and Michael Lapidge (eds), Collectanea Pseudo-Bedae, 14, Dublin: Dublin Institute for Advanced Studies, 1998. 121–197; 199–286.
From the preface (p. vii): “The present edition of the Collectanea pseudo-Bedae is essentially the production of a research seminar in the Department of Anglo-Saxon, Norse, and Celtic (University of Cambridge) which met, under the direction of Michael Lapidge [...] As a result, the present text and translation are the corporate responsibility of the members of the seminar; in the individual Commentary, by contrast, individual contributions are signed.”
From the preface (p. vii): “The present edition of the Collectanea pseudo-Bedae is essentially the production of a research seminar in the Department of Anglo-Saxon, Norse, and Celtic (University of Cambridge) which met, under the direction of Michael Lapidge [...] As a result, the present text and translation are the corporate responsibility of the members of the seminar; in the individual Commentary, by contrast, individual contributions are signed.”